Résultats
La myothérapie s’avère être la conception la plus logique de la maladie. En sont témoins le nombre de résultats durables jamais égalés. Et si statistiquement, on peut voir qu’il s’agit du traitement le plus efficace, il n’en est pas moins le moins coûteux.
La myothérapie utilisée pour traiter et guérir la migraine c’est :
– 70% de guérison totale et définitive ;
– 25% d’amélioration importante ou modérée ;
– 5% d’échec.
Les 5% d’échec peuvent s’expliquer soit par un mauvais diagnostic de départ, soit par un environnement peu favorable. C’est pourquoi dès la première séance, le myothérapeute veillera à effectuer un examen biologique, où il s’inquiétera entre autres de :
- Du taux de fer. L’hypoferritinémie, c’est-à-dire le manque profond en fer, se retrouve souvent chez les femmes suite à divers facteurs : accouchements nombreux, règles abondantes, régimes peu carnés, … On peut également retrouver ce manque de fer chez les donneurs de sang. Si le taux de fer dans le sang s’avère trop faible, le médecin traitera ce problème, car sans fer, il est impossible de concevoir une activité musculaire efficace.
- Du taux de DHEA (populairement appelée hormone de jeunesse). S’il est trop faible, le travail myothérapeutique en sera limité. La DHEA est un facteur important de l’activité musculaire.
- D’éventuels dysfonctionnements de la thyroïde.
Les mauvais dormeurs chroniques seront invités à revoir leurs mauvaises habitudes de vie : les muscles ont un grand besoin de sommeil.